mardi 10 septembre 2013






"Pré-texte"


À travers quatre poèmes de Sylvia Plath, Gaël Le bihan et Anthony Carcone réinventent toute la langueur trouble, entêtante, comme intoxiquée et fatale, de l’inspiration de la poète Sylvia Plath. Auteur intense, maniant une rhétorique de la sincérité, crue dans son altière nudité face aux maux/mots du corps et de l’âme, celle qui , parlant d’elle même, se définissait dans son journal comme « la fille qui voulut être Dieu».



« Tu es morte depuis dix ans. Ce n'est qu'une histoire.

Ton histoire. Mon histoire » (La visite)

« Tes tempes, à la lisière des cheveux,
Etaient la zone sensible.
(...) Quelqu'un t'a électrifiée,
 quelqu'un a actionné le levier. Ils ont fait éclater
 le tonnerre sous ton crâne » 
(La zone sensible).

                                       

"La traversée"




"Appréhension"





"Lésion"





"Ariel"